Rechercher dans ce blog

mardi 1 avril 2014

ÉNORME VAISSEAU DÉTECTÉ SUR LA LUNE

Le 20 janvier 2014 –
Au moins un énorme objet d’origine inconnue a été vérifié visuellement comme ayant atterri sur notre Lune.  En conséquence, le 15 janvier, trois fusées Terrier-Orion ont décollé dans un laps de temps de 20 secondes des facilités de la NASA de Wallops pour des missions ultrasecrètes du Ministère de la défense.
Turner Radio Network a obtenu des photos de l’engin spatial inconnu et a obtenu une entrevue avec un consultant extérieur de l’Office de l’environnement des météorites de la NASA (MEO) qui confirme que depuis près de deux ans, le gouvernement américain a utilisé l’Observatoire McDonald au Texas pour suivre l’approche de deux de ces énormes objets.  Il y a un an, en janvier 2013, les objets s’étaient rendus jusqu’à 200,000 milles au-delà de Mars quand ils ont disparu soudainement.
Réalisant que ces deux vaisseaux s’approchaient de la Terre et pourraient ne pas être visible pour la Camera Orbitale de Reconnaissance Lunaire (LROC) de la NASA selon l’endroit où ils étaient, le gouvernement a réactivé l’Exploreur de l’Atmosphère Lunaire et d’Environnement de Poussière (LADEE), qui avait été précédemment annulé et qui devait être lancé vers la Lune le 6 septembre 2013.  Il a fallu près de 100 jours pour que LADEE puisse être placé sur une orbite lunaire appropriée, car la NASA a utilisé la gravité au lieu du carburant des fusées pour atteindre cet objectif.  En décembre 2013, à la fois LADEE et LROC ont trouvé qu’au moins un des deux objets énormes avaient atterri sur la Lune, dans un cratère de la taille de la ville de Chicago.
Tout cela a été gardé secret jusqu’à ce que, par hasard, les images de LROC (qui sont généralement rendues publiques) ont été téléchargées sur le service public GoogleMoon, où certains utilisateurs intrépides ont retrouvé l’objet énorme. Maintenant, tout le monde peut voir cet « objet » sur la Lune et le secret est sorti.

Comment le tout a commencé

Le Dr Eric Norton a travaillé comme consultant pour l’Agence de sécurité nationale (NSA) et pour la NASA pendant environ 12 ans.  Il a travaillé sur de nombreux projets pour le gouvernement et, plus récemment, avec l’Office de l’environnement des météorites qui est impliqué dans plusieurs projets de recherches visant le but sous-jacent de gagner une meilleure compréhension de l’environnement des météorites ainsi que de pouvoir améliorer les modèles de l’Agence de l’environnement des météorites.  Ils surveillent essentiellement les cieux et suivent les météores et les autres objets dans l’espace.
Le 22 janvier 2012, le Dr Norton a dû partir immédiatement de son domicile de la côte est pour se rendre à l’Observatoire McDonald au Texas, qui est un des plus grands télescopes optiques de l’ensemble des États-Unis.  Il a pris un avion le soir même et a été accueilli à l’aéroport de sa destination par un agent de la sécurité intérieure qui l’a emmené à l’Observatoire sur une question de sécurité nationale.
À l’arrivée, le Dr Norton a dit qu’il avait rencontré d’autres collègues qui lui ont dit avoir besoin de son aide pour identifier quelque chose qui avait été détecté dans l’espace, et lui ont montré les images prises par le télescope sur une période de plusieurs mois.  « Ce que j’ai vu était une série de très grosses structures noires en trois dimensions dans l’espace, en formation en ligne droite, qui avançaient en direction de la planète Terre ».  Le Dr Norton a dit qu’il le savait parce qu’il a également vu des images prises trois mois auparavant qui présentaient le parcours très évident de la direction de ces choses qui, disait-il, « s’étaient déplacées sur plusieurs millions de milles plus proche en seulement trois mois ».  La vitesse à laquelle les objets se déplaçaient était absolument incroyable.
Le Dr Norton a dit qu’il avait été amené à la compréhension que son travail consistait à aider à évaluer exactement quelle était la composition de ces objets fabriqués.  Sont-ils de fabrication humaine, naturels ou non-naturels à tout ce qui a été vu auparavant ?
En utilisant les instruments scientifiques fournis par la NASA, le Dr Norton et son équipe ont pu discerner le fait que ce ne sont pas des matériaux se formant naturellement.  Ils étaient, au mieux, mais, avec une compréhension limitée, une sorte de matériel métallique renforcé de carbone, avec plusieurs milliers de fois la dureté structurelle de ce que nous avons aujourd’hui; Que ce soit des diamants naturels ou de la technologie des nanotubes au carbone.
À mesure que les objets se rapprochaient, Norton et son équipe ont pu voir à travers leurs télescopes les caractéristiques structurelles de ces choses avec beaucoup de détails.  « Ils ont été façonnés de la meilleure façon que je peux les décrire, comme un engin en forme de L en trois dimensions », a dit Norton.  Il a dit avoir utilisé le terme « vaisseau » d’une manière large parce qu’il ne sait pas s’ils sont pilotés ou si ce sont vraiment des véhicules dans le sens le plus strict.  « Tout ce que nous savions, c’est qu’ils se déplaçaient et se déplaçaient très rapidement, » a-t-il dit.
En janvier 2013, les objets avaient été suivis jusqu’à environ 200,000 milles au-delà de la planète Mars.  À ce moment, presque instantanément, les objets ont disparu des lentilles des télescopes.  « C’était presque comme si un interrupteur avait été fermé; Nous ne pouvions pas les voir sur n’importe quelle forme de radars en notre possession où sur n’importe quel autre support visuel, » a-t-il poursuivi.
De février à avril 2013, Norton et son équipe ont parcouru en vain le ciel à la recherche des objets.  Norton a été renvoyé à la maison et on lui a dit d’être prêt à tout moment pour continuer son travail si nécessaire.  Pendant près de 6 mois, il n’a rien entendu.  Cela a changé en octobre 2013, juste avant la fermeture budgétaire du gouvernement des États-Unis, lorsque le Dr Norton a téléphoné à un collègue pour découvrir que les objets énormes étaient soudainement réapparus aux environs de notre Lune et avaient pris positions derrière où sur la Lune.  Selon le collègue de Norton, tout l’enfer s’était déchaîné dans le gouvernement pour essayer de déterminer ce qu’étaient ces choses, d’où elles étaient et ce qu’elles faisaient.  Il y avait une grande quantité de questions, mais, absolument aucune réponse.

LROC

Au moment où cet article a été écrit, depuis plus de 1,600 jours la NASA a utilisé la Caméra Orbitale de Reconnaissance Lunaire (LROC) afin de prendre des images haute définition de la surface de la Lune.  Malgré son utilisation active depuis plus de 1,600 jours, LROC n’a pris des images de seulement environ vingt pour cent de la surface lunaire.  Dans l’impossibilité de modifier la tâche de LROC pour aller à la chasse à ces objets qui pourraient ou ne pourraient pas être près de la Lune, la NASA a dû trouver une manière de remercier le LROC, mais, ils l’ont fait d’une manière rapide et peu coûteuse.  La solution : LADEE.

LADEE

En 2008, la NASA a proposé l’Exploreur de l’Atmosphère Lunaire et de l’Environnement de Poussière (LADEE) comme une mission robotisée pour orbiter autour de la Lune afin de recueillir des informations détaillées de l’atmosphère lunaire, des conditions proches de la surface et des influences environnementales sur la poussière lunaire.  Les scientifiques ont longtemps recherché une compréhension approfondie de ces caractéristiques pour répondre à des inconnus de longue date, et pour les aider à comprendre les autres corps planétaires ainsi. LADEE devait être une mission d’exploration lunaire de la NASA menée par le Centre de Recherche Ames en collaboration avec le Centre des Vols Spatiaux Goddard.
En 2010, l’administration Obama a annulé le programme LADEE en raison des compressions budgétaires, mais, en 2012, lorsque les objets de cette histoire ont été détectés, le programme LADEE a été soudainement ressuscité.  La NASA savait qu’il faudrait plus d’un an seulement pour construire LADEE et une commande urgente a été placée au Centre de Recherche Ames de la NASA pour construire la sonde LADEE.
La sonde a été lancée le 6 septembre 2013 par une fusée Minotaur V, anciennement conçue comme un missile balistique intercontinental pour des ogives nucléaires.  Pour réduire les coûts en carburant, la mission a été conçue pour que 30 jours soient nécessaires pour se rendre jusqu’à la Lune en terminant son arrivée grâce à l’utilisation de la gravité de la Terre et de la Lune au lieu du carburant.  Après son arrivée, LADEE a subi « une vérification complète » pendant 30 jours avant de commencer une autre période de 100 jours d’opérations scientifiques.  LADEE est arrivée près de la Lune aux environs du 6 octobre et a terminé sa vérification aux environs du 6 novembre.
En décembre 2013, le spectromètre de la lumière visible et de l’ultraviolet de LADEE, qui détermine la composition de l’atmosphère lunaire en analysant la signature lumineuse des matériaux qu’il trouve, a détecté quelque chose de très grand et de très différent de tout ce qui se trouve sur la Lune.  L’objet était situé dans un cratère qui est de la taille du centre-ville de Chicago.  Il était de la forme d’un L, comme un coin, ne dégageait aucun signal radio, mais, semblait avoir sept zones où une lumière d’un certain type était émise où réfléchie.
Remerciant LADEE d’avoir trouvé l’objet, la NASA savait maintenant où chercher et a envoyé le LROC pour prendre des images à haute résolution.  Ces images sont classifiées, mais, les images à basse résolution de LROC sont devenues publiques par les publications routinières de LROC.  Elles ont terminé leur voyage dans GoogleMoon où des utilisateurs intrépides ont retrouvé l’objet.  Voyez maintenant les images basse résolution d’un objet énorme, qui a été suivi par le gouvernement américain pendant des millions de milles avant son atterrissage en douceur sur notre Lune :

Le lancement lunaire de la Chine : pas un hasard

En 2012, les États-Unis ont partagé de façon confidentielle des informations sur les « objets » entrants avec d’autres gouvernements.  Peu de temps après, à la surprise générale, la Chine a annoncé son intention d’atterrir sur la Lune et a lancé son Chang E-3 en décembre.  Ce lancement a réussi et la Chine est devenue le troisième pays à faire un atterrissage en douceur avec succès sur la Lune avec son atterrisseur lunaire Chang E-3.  Après l’atterrissage, le Chang E-3 a déployé un rover appelé YUTU.  Les États-Unis ont été en contact avec la Chine pour voir s’il était possible que leur atterrisseur lunaire « Chang E-3 » où leur rover « YUTU » puisse voyager aussi loin afin d’obtenir plus d’informations sur l’objet.  On ne sait pas si la Chine va aider.

Inquiétudes aux États-Unis ?

L’énorme objet n’a démontré aucun signe d’intentions hostiles, mais, tout ce qui se passe là-haut semble inquiéter énormément le gouvernement américain.  Le 10 janvier, le centre spatial Wallops de la NASA, en Virginie, a fait une annonce soudaine, avec un avis public de seulement trois jours à l’avance, en disant que trois fusées seraient lancées à partir de Wallops entre le 13 et le 15 janvier, entre 1:00 AM et 5:00 AM, pour une mission secrète du Département de la Défense.
Le court préavis était inhabituel; Le Centre spatial Wallops fournit habituellement plus d’un mois de préavis avant un lancement.  En fait, le 15 janvier, trois missiles Terrier-Orion ont été lancés de Wallops à des intervalles de 20 secondes.  Leurs cargaisons n’ont pas été révélées au public et la mission est secrète.
Le Terrier-Orion est une petite fusée qui n’est pas en mesure d’atteindre la Lune.  Elle peut transporter une charge utile faible à environ 120 milles dans l’espace.  Donc, quel que soit ce que le Ministère de la Défense a lancé, ceci doit avoir été assez petit pour rester sur cette fusée, mais, suffisamment puissant pour être utilisé comme moyen de défense, ou pour peut-être analyser tout ce qui se trouverait sur la Lune.  De toute façon, les lèvres gouvernementales sont scellées.
L’interview audio avec le « Dr Eric Norton » peut être entendue ICI.
Les coordonnées pouvant être utilisées sur GoogleMoon Viewer pour voir les images ci-dessus sont : 22°42’38.46″N, 142°34’44.52″E.

La couverture médiatique

Les médias ont commencé à couvrir cette histoire.  Des revues comme le Daily Mail de Londres, le New York Daily News et le Hindustan Times of India possèdent des versions de cette histoire, mais, aucune d’entre elles n’a les images télescopiques initiales, à longue portée, du vaisseau qu’a Turner Radio Network, et aucune d’entre elles ne possède l’entrevue audio avec « le Dr Norton » dont le nom a été changé pour protéger son identité.
http://www.turnerradionetwork.com/news/206-visually-confirmed-enormous-craft-detected-on-moon

Source trouver:
Pleinsfeux

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire